Articles
18 novembre 1898
Carmel de Pau
Vous ne sauriez croire, bien chère Mère, combien je comprends cette âme angélique, et avec quelles délices je lis ces pages ! Que j’aurais été heureuse de la connaître !
Carmel de Pau
Vous ne sauriez croire, bien chère Mère, combien je comprends cette âme angélique, et avec quelles délices je lis ces pages ! Que j’aurais été heureuse de la connaître !